Comme promis dans mon dernier article, je vous offre aujourd'hui quelques ambiances, parfois inattendues, créées par ces magiciens ou plutot ces passeurs de Lumière que sont les artisans et artistes du vitrail.
La visite commence avec Sarkis, qui décline les couleurs.
La simplicité semble être au rendez-vous, étroitement mélée à une douce impression de sérénité. Les noms des villes gravées dans le verre incitent également aux rêves, autant qu'à la spiritualité par les lieux saints qui y sont évoqués, les deux n'étant pas nécessairement contradictoires.
Soulages, à Sainte Foy,
laisse aussi transparaître cette impression de repères maîtrisés, pourtant déjà modifiés et qui offrent une subtile nuance dans le ressenti.
Le bleu toujours, qui apaise, dans des lieux de
culte, avec une créativité qui nous prépare à de nouveaux horizons, sacrés et profane. Les vitraux sont ici signés par Saragossa (pour un presbytère) et Chagall (vitrail dans une synagogue).
De nouveaux horizons...
C'est le cas dans cette chapelle du Dakota, le tracé des vitraux répondant aussi à la forme géométrique des lieux. Il y a ici une impression d'ascension, proche de celle qu'on traouve aussi dans
cette oeuvre (profane) au Japon, un escalier qui mène vers le ciel.
Et pour terminer, visite d'un centre commercial à Dubaï. Le contraste est saisissant...
Un point commun
cependant : la Lumière.